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A Propos

Notre conviction

Par l’action conjuguée de la collecte du bois, de l’agriculture extensive, des feux de végétation on a noté de 2001 à 2016, dans la zone de montagne du nord-ouest du Bénin, la reconversion de la forêt claire et forêt galerie de la zone, en savane, jachère et champs. Les champs et jachères ont augmenté de 6,2% et la savane de 4,6%. Pendant le même temps, la forêt claire et la forêt galerie ont régressé de 3,7% et 7,2% respectivement.


Dès lors, l’interaction perte de la diversité biologique changement climatique, dégradation des sols, baisse du niveau des cours d’eau, impacte les communautés dans leurs activités et qualité de vie. Les ressources naturelles se raréfient pendant que le nombre de demandeurs de ces ressources croît. C’est le cas notamment pour le bois-énergie qui est loin d’être un produit marginal pour la survie des populations.

Selon une étude conduite en 2009 pour l’AFD et la Banque Africaine de Développement (BAD) sur la situation énergétique à l’horizon 2050, « Il n’est pas possible d’envisager à horizon court la disparition de l’utilisation du bois de feu… la solution à long terme peut difficilement être le recours à des énergies fossiles productrices de gaz à effet de serre » Favennec et al. (2009).

Ce faisant, comment concilier le défi existentiel des populations et l’enjeu de conservation de la biodiversité découlant des prescriptions des conventions de la génération RIO (CBD CCC CCD), des Objectifs de Développement Durable (ODD) portant sur la lutte contre la pauvreté, les emplois décents notamment le tourisme durable, la lutte contre le changement climatique et la protection de la faune et de la flore terrestre, sans oublier les prescriptions des Nations Unies en faveur des écosystèmes de montagne déclinées à travers l’institution d’une journée internationale de la montagne le 11 décembre de chaque année.
Comment prendre en compte l’urgence éthique découlant du devoir de chaque génération de préserver l’essentiel pour les générations futures à travers les comportements quotidiens des populations locales ?

Et si des initiatives de facilitation naturelle de la régénérescence de la végétation, la création de plantations de bois-énergie couplée à la sensibilisation nous semble pertinente, notre option complémentaire est l’écotourisme qui dépend de la préservation de l’écosystème autant qu’il participe à sa protection par la valorisation de la biodiversité et le développement local en associant les dimensions économique, écologique et sociale, puis l’autonomisation des couches les plus vulnérables par des formations à des métiers éco-compatibles ancrés dans la tradition et répondant aux besoins de communautés.

Les opportunités de revenus qui découlent des activités diverses de projets, conduisent à des changements dans l’approche à l’environnement des bénéficiaires, ce qui sera également bénéfique pour la biodiversité et la diversité culturelle.

C’est le but de notre action qui intervient au bout d’une longue campagne de sensibilisation démarrée en 2017 à laquelle adhèrent les autorités communales et départementales de l’Atacora et le Ministère du Cadre de Vie et du Développement Durable avec qui nous sommes en partenariat pour restaurer le couvert végétal des crêtes et versants de la chaîne de l’Atacora ainsi que les forêts galeries du département.

C’est à toutes ces fins que nous mettons en place plusieurs actions, dont la création d’un POLE VERT, espace multifonction pour la promotion de toutes les alternatives à intérêts touristiques, écologiques et génératrices de revenus provenant d’activités respectueuses des écosystèmes des montagnes et la conservation de savoirs et traditions porteurs de diversité culturelle, la création de plantation au profit de l’environnement mais aussi des communautés, la promotion de métiers divers dont la tannerie, la vannerie et la poterie.

Nous sommes également engagés dans la conservation des bassins versants de cours d’eau de la région et des forêts galerie, ainsi que la mise en place de Chaine de valeur ajoutée CVA.

Notre crédo : Les montagnes sont importantes. Votre engagement aussi. Les montagnes : des trésors naturels à préserver

Expériences et expertises de BCDA sur les thématiques concernées

L’ONG BCDA est entrée en 2023 dans sa septième année d’implication dans l’organisation des Journées Internationales des montagnes et autour des thématiques liées au présent projet. Non seulement l’ONG a été l’initiatrice depuis 2017 des « JOURNEES INTERNATIONALES DE MONTAGNES » (JIM) au Bénin, mais elle a une expérience dans le renforcement des connaissances et savoir-faire sur divers aspects liés à la sauvegarde de l’écosystème des montagnes au Bénin. Ses équipes dirigeante et technique se sont aussi positionnées dans la région par des actions de plaidoyers, des actions de sensibilisation, des rencontres partenariales multiples, tant au niveau politique, des services existants, que de la Société Civile.

Chaque année, dans l’inter JIM annuelles (décembre), l’ONG BCDA développe plusieurs missions visant toujours à implémenter le principe d’une prise de conscience le plus large possible avec les moyens disponibles. Son équipe, par moments, s’est adjoint les compétences d’experts, spécialisés dans l’un ou l’autre des aspects environnementaux sur lesquels il est apparu important et urgent de travailler : géologues, géographes, journalistes, communicateurs, animateurs, artistes, botanistes, horticulteurs, services forestiers de l’Etat, spécialistes des questions d’autosuffisance alimentaire, ONG régionales de promotion de produits agricoles ou de produits de consommation de bois de chauffe, CCI, socio-anthropologues, historiens, etc. toutes dans le but de dessiner le contour le plus approprié des actions à envisager ou qui ont déjà été réalisées. L’équipe a ainsi capitalisé un ensemble de données et de connaissances approfondies.

C’est par ces biais qu’ont été affinées les perceptions multidimensionnelles de l’ONG sur des questions à traiter (biodiversité, humaines, culturelle, économiques…) avec l’implication de plusieurs partenaires que sont les autorités locales et d’autres ONG intervenant dans le département de l’Atacora. L’expertise acquise par notre ONG a eu un effet d’entrainement sur l’engagement des communautés dans la sauvegarde de l’environnement de la région et de son patrimoine culturel.

Plus-values attendues de nos actions

Notre programme a eu des impacts sur :

a ) la biodiversité

Les communautés sont de plus en plus sensibles à l’importance de préserver la couverture végétale des montagnes.

b ) L’économie régionale

En renforçant les capacités des acteurs du tourisme nous œuvrons à diversifier l’offre touristique, par la mise en place de circuits pédestres, de circuits thématiques. Mais ce volet est ponctuellement mis en difficulté par des préoccupations sécuritaires. Il en va de même pour des formations à des métiers d’inspiration traditionnelle que nous avons développées avec l’appui de la coopération Suisse au Bénin et que nous poursuivons avec l’accompagnement du Fonds National pour l’Environnement et le Climat FNEC, la GIZ et depuis peu, l’ambassade de France au Bénin. Toutes ces activités visent la mise à l’emploi.

c ) Sur l’habilité des populations à gérer les questions environnementales et leurs impacts sur la vie des communautés

Partant du constat que le manque d’information, les habitudes destructrices avec l’irrespect qui l’accompagne à l’égard de notre environnement sont à l’origine de la majeure partie des dégradations observées, il va sans dire qu’en intensifiant l’IEC dans la zone, le regard et la mentalité sur l’exploitation de la nature environnante (végétal, minéral, eaux, air ) va progressivement se modifier.

Objectif global et objectifs specifiques de nos activites
1 -Objectif global

L’objectif général poursuivi par le projet est de contribuer à réduire la dégradation de l’écosystème de la chaîne montagneuse de l’Atacora.

2 - Objectifs spécifiques

De façon spécifique, il s’agira de :

  • Réduire la pression anthropique sur les espaces fragiles de l’écosystème de la chaîne montagneuse de l’Atacora ; par des actions de reboisement et de plantations d’essences d’arbres spécifiques pour la production du bois-énergie,
  • Améliorer la connaissance des spécificités de la chaîne montagneuse de l’Atacora (peuple et écosystème) ; par des actions grand public comme les Journées Internationales de la Montagne, par des animations en milieux scolaires, par des formations à des métiers patrimoniaux.
  • Promouvoir l’économie verte dans la chaîne montagneuse de l’Atacora.

Le mot du Président

Les préoccupations de survie de l’espèce humaine ont conduit au constat que les ressources de notre planète ne sont pas illimitées. La pression anthropique alliée aux gaspillages, à la perte de repères ou de valeurs met quotidiennement en danger notre devenir et hypothèque la qualité de vie des générations futures. Le sujet est d’importance et, à défaut de se satisfaire des déclarations d’intention ou programme et objectifs définis par les gouvernants et les institutions internationales, il faut déjà apprécier la prise de conscience collective des enjeux qui se traduit entre autre par les Objectifs du Millénaire pour le Développement OMD ou les Objectifs de Développement Durable ODD, lesquels seront un succès si les parties prenantes s’engagent effectivement grâce à un partenariat mondial associant les gouvernements et la société civile à tous les niveaux, les communautés, les collectivités locales, les individus et les entreprises. Tous ces acteurs ont des responsabilités communes mais néanmoins différenciées et doivent travailler dans un esprit de solidarité, de respect mutuel et de relations entre tous les êtres humains.

C’est pour assurer sa part de responsabilité que l’Association Bénin Culture Développement Amitié, BCDA, s’est constitué avec la détermination entre autres de s’impliquer dans le dispositif d’exécution, de suivi et d’évaluation des OMD puis des ODD dont la finalité devrait être le bien-être pour tous dans une approche de développement durable.

Les défis sont en effet nombreux :

  • le changement climatique reconnu comme l’une des menaces les plus graves pour le développement humain
  • l’accroissement des inégalités dans le développement économique et social,
  • l’absence de la culture dans les objectifs du millénaire.

Nous sommes convaincus que le sort de l’humanité est collectif, que le développement a toujours un socle culturel et que l’amitié est un des remparts contre la belligérance.

Merci de faire ce voyage du développement avec nous.

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